Les communs à la Biennale des Villes en Transition 2023

Dès la première Biennale des villes en transition en 2017, l’Assemblée des Communs de Grenoble a émergé comme espace de espace d’échanges, d’auto-organisation et de co-construction pour l’apprentissage, la préservation et le développement des communs à l’échelle du bassin de vie grenoblois.

Cette année, plusieurs initiatives sont organisées par des commoneurs : un stand des communs le vendredi 10 Juin, la caravane pour le droit à l’alimentation le samedi 10 Juin (en partenariat avec Pas Sans Nous 38), une préfiguration du Parlement de l’eau avec de nombreux invités, une présentation de la cartographie des communs naturels et la 7ème assemblée des communs le dimanche 11 Juin !

`Vendredi 9 Juin 2023

  • Stand des communs de 10h à 17h au Parc Pompidou Le stand des communs est l’occasion de présenter tout au long de la journée des initiatives pour les communs menés dans l’agglomération grenobloise et au delà.

  • Au programme : découverte de la notion de commun, cartographie des communs naturels, atelier relocalisons, éducation bien commun, communs de l’alimentation, réflexion sur les communs populaires… Le stand sera également le point de rendez vous pour des balades urbaines pour découvrir les alternatives dans l’agglomération.

Samedi 10 Juin

de 10h à 18h au Village Alimentaire, cours de la libération (Arrêt Louise Michel) au Village Alimentaire https://www.grenoble.fr/agendaRCM/90060/2954-le-village-alimentaire.htm?periode=160022 co-organisé avec Pas Sans Nous 38.

La caravane pour le droit à l’alimentation a pour objectif de contribuer à l’accès à une alimentation locale de qualité. A l’occasion de la Biennale des villes en Transition et de la Fête des Tuiles, nous mobiliserons la caravane food truck pour cuisiner, transformer et distribuer des produits locaux lors d’ateliers organisés dans l’espace public.

  • Rencontre du Parlement de l’eau

Et si la préservation en commun de terres, de rivières, de forêts,… contribuaient à notre survie commune dans l’Anthropocène ? En Equateur ou ici dans les Alpes, des chercheurs.euses, des élu.e.s, des associations, des commoneurs, des paysan.nes avec ou sans terre défendent des espaces jugés essentiels à l’habitabilité de la Terre. Iels perpétuent des formes anciennes de protection en commun, luttent pour préserver et entendre le vivant, défendent leur autonomie alimentaire, l’eau, la biodiversité, prévenir des pollutions, et valoriser des gouvernances plus démocratiques et ouvertes au vivant pour préserver ces biens communs.

Exposition de travaux d’étudiant.es sur un Parlement de l’Isère et rencontre avec une délégation de femmes du peuple Kichwa des Sarayakus pour croiser les regards.

de 13h30 à 15h à l’espace conférence (parc 39 Rue Général Mangin) Discussion avec les habitants de Sarayakus en partenariat avec FNE38, des étudiants de l’Ensag, intervention de Bintou Sombié & Civipole

Présentation du projet de cartographie participative des communs ruraux, forestiers et maritimes français. Depuis plusieurs mois, un groupe s’est donné pour objectif de construire un outil de cartographie contributive pour localiser et de documenter de manière participative, un nombre significatif de ces communs ruraux, forestiers et maritimes. Il s’agit de mieux connaitre leurs localisations, règles et usages, leurs cadres juridiques et leurs histoires, les services sociaux, écosystémiques qu’ils rendent et les risques encourus s’ils disparaissent, mais aussi les communautés d’usage qui en prennent soin.

Dimanche 11 Juin

  • 7ème Assemblée des communs de Grenoble à l’espace conférence de la Biennale des Villes en Transition

L’Assemblée des Communs de Grenoble est un espace d’échanges et de co-construction pour l’apprentissage, la préservation et le développement des communs à l’échelle du bassin de vie grenoblois. La 7ème Assemblée des Communs aura pour objectif de présenter plusieurs initiatives en faveur des communs ruraux, urbains & populaires.

Parmi les initiatives présentées lors de l’assemblée des communs : parlement de l’Isère, groupe de travail sur le prêt à usage, auto-organisation des habitant-es à travers les tables de quartier, épargne solidaire en faveur des communs, cartographie des communs ruraux, gouvernance de l’assemblée des communs et articulation avec les assemblées des communs à Lyon et à l’échelle francophone.

Plus d’infos : assembleedescommunsgrenoble@zaclys.net

Vers la 7ème Assemblée des Communs de Grenoble

Le 11 Juin de 13h à 15h à la Biennale des Villes en Transition de Grenoble (espace conférence) https://www.grenoble.fr/2911-la-biennale-des-villes-en-transition-revolutionnons-demain-edition-2023.htm

L’Assemblée des Communs de Grenoble est un espace d’échanges et de co-construction pour l’apprentissage, la préservation et le développement des communs à l’échelle du bassin de vie grenoblois. La 7ème Assemblée des Communs aura pour objectif de présenter plusieurs initiatives en faveur des communs ruraux, urbains & populaires.

Parmi les initiatives présentées lors de l’assemblée des communs : parlement de l’Isère, groupe de travail sur le prêt à usage, auto-organisation des habitant-es à travers les tables de quartier, épargne solidaire en faveur des communs, cartographie des communs ruraux et gouvernance de l’assemblée des communs, articulation avec les assemblées des communs à Lyon et à l’échelle francophone.

Contact : assembleedescommunsgrenoble(a)zaclys.net

Accueil de la Fédération Sénégalaise d’Habitants et Urbasen à la Villeneuve

Nous avons accueilli la fédération sénégalaise des habitants et Urbasen à la Villeneuve de Grenoble. UrbaSEN et la Fédération Sénégalaise des Habitant·es sont lauréats d’or des World Habitat Awards.

Depuis plusieurs années, l’association urbaSEN poursuit l’idée qu’au coeur de l’urbanisme réside l’humain. Cette association sénégalaise réunit des professionnels autour de problématiques urbaines propres aux quartiers précaires. Elle est née de la réalisation d’un programme de planification urbaine participative lancé en 2009 dans la banlieue de Dakar, appelé urbaDTK en référence à la commune de Djiddah Thiaroye Kao touchée par les inondations récurentes depuis 2005.

UrbaSEN est le fruit de cette expertise locale combinée à une réflexion des habitants de la banlieue concernant la redéfinition de ce que pourrait et devrait être la ville. Jusqu’alors, la construction de la ville avait toujours été l’affaire de l’Etat et de la Municipalité ou du secteur privé. Or, un maillon essentiel dans cette chaîne de production manquait : la population.

Afin de faire entendre la voix des habitants vulnérables des quartiers informels de la banlieue, l’association urbaSEN a contribué à fonder la Fédération Sénégalaise des Habitants (FSH). Ces deux entités, représentées respectivement par un bureau technique (urbaSEN) et une organisation communautaire (FSH), accompagnent les habitants dans la définition et la mise en œuvre de projets de développement urbain, les plaçant ainsi au centre des décisions d’aménagement.

En ce sens, ces deux structures oeuvrent ensemble pour lutter contre les inégalités sociales et la fragmentation urbaine afin de favoriser l’émergence d’une ville inclusive. Elles travaillent sans relâche, main dans la main, à l’amélioration du cadre de vie des populations vulnérables des villes du Sénégal en leurs permettant notamment d’accéder à un logement digne et durable.

Presse : https://www.ledauphine.com/environnement/2023/03/02/une-delegation-senegalaise-a-la-villeneuve-pour-debattre-de-l-habitat

Manifeste pour le Droit des Femmes à la Ville

Next Planning a contribué à la mobilisation internationale pour le Droit à la ville des Femmes, en participant à la campagne lancée par la plateforme globale pour le Droit à la Ville autour du 8 mars 2023.

Comment peut-on réaliser le Droit des Femmes à la Ville?

1. Une VILLE qui adopte toutes les mesures nécessaires -normatives, urbaines, économiques et sociales- contre la discrimination sous toutes ses formes, à l’égard des femmes et des filles, garantissant leur plein épanouissement personnel, leur égalité dans le l’exercice et la réalisation de leurs droits à la citoyenneté, en particulier ceux des femmes vivant dans la pauvreté ou en situation de vulnérabilité, des personnes d’ascendance africaine, des indigènes, des femmes déplacées, migrantes, métisses, LGBTIQA et souffrant de handicaps, entre autres.

2. Une VILLE qui garantisse la parité dans la participation politique complète et effective des femmes et l’égalité des opportunités en matière de leadership à tous les niveaux de la prise de décision dans la vie politique, sociale, culturelle, économique et publique, en affermissant leurs voix et en générant des espaces et des ressources pour les programmes consacrés aux femmes.

3. Une VILLE exempte de violence -physique, psychologique, verbale, matérielle ou symbolique- contre les femmes dans la sphère publique ainsi que privée, qui garantisse la sécurité d’utilisation et de jouissance des espaces publics et des biens communs et assure la liberté de circulation. Une VILLE où la peur ne soit pas une limite à leurs libertés. Une VILLE qui garantisse le droit des femmes de prendre les décisions relatives à leur propre corps.

4. Une VILLE qui assure la protection des femmes, y compris des réfugié-e-s, en période de guerre et de conflit. A une époque à laquelle les conflits armés et les déplacements forcés constituent des phénomènes de plus en plus urbains, il faut se pencher tout particulièrement sur les menaces qui pèsent sur les femmes, ainsi que sur leurs vulnérabilités et sur leurs besoins spécifiques. La responsabilité d’attaquer à la racine les causes de ces conflits qui affectent si gravement les communautés vulnérables, y compris les femmes, incombe à la communauté internationale.

5. Une VILLE qui garantisse la réalisation du logement adéquat, de la sécurité de tenure des femmes, des droits de succession, de l’accès à l’eau potable, de l’assainissement et de l’hygiène, en particulier pour les femmes seules assumant la responsabilité de leur foyer et de leur famille.

6. Une VILLE qui reconnaisse, valorise et redistribue le travail de prise en charge des personnes dépendantes et de soin communautaire, principalement assumé par les femmes. La prise en charge devrait être une responsabilité publique et sociale, au-delà de l’individuel, qui devrait être assumée par toute les personnes et devrait être incluse et budgétisée dans les politiques publiques.

7. Une VILLE qui garantisse aux femmes un accès équitable et abordable aux biens, services publics et aux opportunités offertes par les villes, qui incorporent les besoins des femmes, en accordant une attention particulière aux soins dirigés à l’enfance, aux personnes âgées et aux

personnes souffrant de handicap à charge, tels que: les services de prise en charge de l’enfance, la nourriture et la nutrition, les services de santé, les transports publics de qualité répondant aux besoins de mobilité des femmes, l’éclairage public décent, les installations sanitaires fonctionnelles, les lieux et infrastructures de travail décent-e-s pour les travailleuses informelles qui sont majoritaires, ainsi que des opportunités culturelles pour les femmes, en particulier les jeunes.

8. Une VILLE qui promeuve l’autonomie économique des femmes, garantissant l’égalité de l’emploi, la dignité et l’égalité de rémunération pour tous et toutes en conditions égales, la reconnaissance du travail informel des femmes, source déterminante de revenu dans les villes. Une VILLE qui modifie les relations de pouvoir entre hommes et femmes, familles, marché et État, transformant la ville en fonction des besoins individuels et collectifs des femmes.

9. Une VILLE où les femmes aient une voix active et décisive dans le processus de planification, conception, production, utilisation et occupation de l’espace urbain. Où le processus de planification urbaine place au centre des programmes les besoins, les usages et les désirs de la diversité des personnes, sans omettre les femmes et les autres identités.

10. Une VILLE qui prenne en compte la diversité des femmes, en fonction des différences d’âge, de capacités physiques, d’origine, de nationalité, d’appartenance ethnique, de religion, de race, de situation économique, d’orientation sexuelle, religieuse ou politique. Une VILLE qui garantisse, respecte les liens et les identités communautaires, favorisant les relations sociales et l’échange culturel, sans discrimination envers les femmes en raison de leurs coutumes, traditions ou pratiques sociales.

11. Une VILLE qui promeuve l’égalité de genre pour accéder au crédit et aux marchés et défende l’environnement et la vie. Une VILLE qui élimine les inégalités sociales, économiques et de genre entre le rural et l’urbain, qui valorise les formes de production agricole paysanne et l’agriculture urbaine, noyaux de la vie urbaine. Une ville qui reconnaisse le lien décisif entre le rural et l’urbain.

Plus d’infos : https://www.right2city.org/fr/

Appel à la solidarité avec la Turquie et la Syrie

Participer à la campagne de solidarité en réalisant un don au Fonds de dotation UITC-Terre Citoyenne https://www.helloasso.com/associations/fonds-de-dotation-uitc-terre-citoyenne/formulaires/4

Deux soirées de solidarité sont organisées à Grenoble :

VENDREDI 24 FÉVRIER 2023 À 18:00, 15 Rue des Arts et Métiers, 38000 Grenoble, France organisé par Cuisines Sans Frontière.

Chef Ali et Cuisine Sans Frontières prépareront une assiette syrienne à 15€. Soirée en musique. Toute la recette de la soirée sera reversée pour venir en aide aux victimes du séisme.

VENDREDI 3 MARS DE 17h à 18h30 à l’Institut d’Urbanisme et de Géographie Alpine (IUGA) Rue Marie Reynoard à Grenoble.

Discussion sur les catastrophes naturelles et gestion des risques : Etat, municipalités, société civile et population. Appel à contribuer aux initiatives de solidarité menées en Turquie/Syrie.

Soutenir la résilience des populations face aux catastrophes naturelles

Depuis le 6 février 2023, les tremblements de terre survenus à proximité de la frontière entre la Syrie et la Turquie ont causé des dizaines de milliers de morts, de nombreux blessés et des destructions considérables.

Face aux conséquences des catastrophes naturelles, l’Université Internationale Terre Citoyenne (UITC) a décidé de mobiliser son fonds de dotation pour apporter un soutien à des initiatives de solidarité et résilience menés par des partenaires de la région en Turquie et Syrie.

Nous lançons un appel à tous nos membres et partenaires à participer à cette campagne de don. Les sommes récoltées seront reversées intégralement à nos partenaires en Turquie et Syrie pour mener des initiatives concrètes de solidarité et de résilience.

Un collectif de solidarité est actuellement sur place dans la région Adıyaman (Semsûr en kurde) pour évaluer les besoins et envisager des initiatives. Cette campagne de solidarité vise à contribuer à des actions de résilience qui s’inscrivent dans la durée.

Parmi les premières idées d’action qui ont été identifiés : répondre aux besoins de logement des habitants, mener des initiatives en faveur de la transformation démocratique des conflits, soutien aux initiatives culturelles locales et soutien aux agriculteurs pour relancer la production locale.

Vous pouvez également rejoindre notre groupe de travail dédié à la mise en œuvre des projets de solidarité avec la Turquie et la Syrie. Nous vous tiendrons également informés du suivi de cette campagne de solidarité pour présenter les résultats et diffuser des connaissances utiles à la résilience et aux changements face aux crises.

Pour faire un don : https://www.helloasso.com/associations/fonds-de-dotation-uitc-terre-citoyenne/formulaires/4

L’Université Internationale Terre Citoyenne (UITC) – https://uitc.earth  / contact@uitc.earth

[Crédit Image ; Vue aérienne de la province d’Hatay le 19 Février 2023 / State Department photo by Ron Przysucha/ Public Domain]

Appel à participer à l’ « Université des conflits » dans le cadre des Dialogues en humanité 2023

Nous vous invitons à la préparation de l’Université des Conflits qui se déroulera pendant les Dialogues en humanité des 7, 8 et 9 juillet 2023 à Lyon sur le thème général «  Comment transformer les conflits pour éviter les violences et les guerres?».

La question des conflits est une très vieille histoire liée avec celle de l’humanité. Comment faire pour maintenir toutes les formes de communauté vivante et non en situation de violence et de guerre ? Ceci a toujours été valable aussi bien pour les cellules familiales, les communautés, les entreprises, les nations, les régions du monde ou la communauté mondiale.

En ce début de l’année 2023, il nous apparaît particulièrement important de repenser la question des conflits. La décennie des années 2010 a été marquée par des conflits sociaux importants dans de nombreuses sociétés mais aussi par des tensions, des violences et des guerres comme celles de la Syrie, de la Lybie, du Mali et de l’Ukraine.

Si les conflits entre Etats n’ont malheureusement pas disparu, les dynamiques conflictuelles paraissent de plus en plus complexes, avec une tendance à l’accélération et à la circulation rapide des idées et émotions produisant de nouveaux conflits au sein et à l’extérieur des sociétés.

Les sociétés semblent traversées par de nouveaux conflits qui conjuguent des questions sociales, politiques, économiques, écologiques, culturelles, de genre et informationnelles. Pour les individus et les communautés, les conflits sont nombreux et intersectionnels, combinant par exemple des dynamiques liées aux classes sociales, aux origines, aux genres et aux territoires .

Ceci nous oblige à voir les situations avec des grilles d’analyse renouvelées et variées mais aussi à apprendre et à échanger avec ceux qui ont fait des bouts de chemin pour agir dans des situations conflictuelles et de violence.

La capacité des groupes et des individus à comprendre les dynamiques à l’œuvre est d’une importance capitale pour envisager des issues porteuses de résilience et de changement. Dès lors, il nous semble urgent d’appréhender ces conflictualités avec une vision renouvelée des dynamiques qui sont à l’œuvre et d’envisager quelles seraient les savoirs, compétences et méthodes de transformation sociale qui permettraient aux individus et aux communautés de contribuer à une émancipation collective.

Avec l’Université des Conflits, nous proposons :

– de permettre à un public très large de découvrir, de connaître et de vivre des pratiques de démarches, de méthodes pour faire face aux conflits. En ce sens nous invitons des démarches variées à participer à ces journées et aussi à leur préparation.: CNV, ATCC, Thérapie Sociale, Processwork/démocratie Profonde, Communautéy Organizing, Cercles restauratifs, Cercles de dialogue, Médiation..

– d’ouvrir un espace d’échanges pour renouveler nos savoirs et méthodes à partir des nouvelles formes de conflictualité. Il s’agit aussi bien de prendre en compte la diversité des conflits interpersonnels, au sein des groupes, à commencer par nos propres organisations qu’au sein et entre les sociétés.

– de donner l’occasion de faire émerger et avancer des initiatives, des projets, des propositions de toutes nature dont politique pour mieux travailler et transformer à tous les niveaux les conflits afin d’éviter les violences et les guerres.

Pour préparer l’ « Université des conflits », nous vous proposons dés maintenant trois grands rendez vous en visioconférence

le vendredi 24 février 2023 de 17H à 19H

le mercredi 22 mars 2023 de 17H à 19H

le mardi 3 mai 2023 de 17H à 19H

L’objectif de ces rencontres de préparation sera de mieux se connaître, partager nos visions et méthodes de transformation des conflits et construire le programme pour contribuer aux Dialogues en Humanité 2023 selon quatre modalités :

·         Des « Ateliers du sensible », pour donner l’occasion de pratiquer, de se former en s’ouvrant à différents canaux de perception et expression (les émotions, le corps, le mouvement ….)

·         Les « Agoras » qui doivent permettre des dialogues autour de plusieurs thématiques

·         Les moments de « Convergence » qui donnent la possibilité à différentes personnes, organisations, mouvements de pouvoir échanger et converger autour de certaines idées, initiatives, projets…

·         Des moments d’ « Expression culturelle ».

Nous comptons sur vous pour diffuser cet appel et informer d’autres collectifs susceptibles de participer de cette belle aventure, initiative et à ces réunions de préparation .

Plus d’infos: contact(at)uitc.earth

Dialogues en Humanité : https://dialoguesenhumanite.org

(Image : GilPe, Creative Commons Attribution-Share Alike 4.0 International)

Mobilisation contre la loi « anti-squat »

Appel à mobilisation pour dire non à la proposition de loi « anti-squat » qui criminalise les locataires en difficultés et les occupants de logements et bâtiments vides.

Des associations appellent à une mobilisation le 28 janvier dans toute la France. Participer aux actions dans votre ville ! Toutes les infos pour les manifestations sur https://www.selogernestpasuncrime.org/


Le texte de loi va pouvoir condamner à trois ans de prison tout squat de local d’habitation, y compris s’il est totalement abandonné, mais aussi de locaux « à usage économique » (hangar, entrepôt, usine, grange, bureaux désaffectés)

A Grenoble, la manifestation samedi 28 janvier partira à 14h de Félix Poulat, contre le projet de loi criminel dite « Kasbarian », qui va s’attaquer aux plus précaires: squatters, sans-logis, locataires endettés… mais aussi les accédants à la propriété surrendettés et les grévistes !! 

En savoir plus : https://basta.media/Logement-loi-kasbarian-berger-appel-a-se-mobiliser-contre-une-loi-scelerat-locataires-expulsions-squats